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PAF Cours 2
Signes de Night Shyamalan (74 millions de $)
Film purement politique. Exemple type de stéganographie. Idées de pêchés. Scénario changé au fur et à mesure du tournage. Une sorte de réponse au 11 septembre. Le premier jour était au départ le 11 septembre 2001. Date changée quelques semaines avant.
Extrait 1 :
Musique du générique : violante, métallique, forte, puissante.
Fin du générique : fondu au noir. 1ère image le réveil. Terne, jardin, …
1er plan : quintessence du film. Très vite. Backgarden. Lumière de début de journée. Terne. Vue d'une fenêtre → déformation
2ème plan : cohérence entre le 1er avec le chambranle de la fenêtre et le 2ème avec le cadre photo. Se resserre de plus en plus sur quelque chose.
Mise à distance dans le jardin puis GP de Mel Gibson qui s'interpose entre nous et le cadre. Mal Gibson = élément perturbateur du film (a perdu la foi), empêche l'unité de la famille.
3ème plan : symétrie de l'image avec un déséquilibre. Manque la mère.
4ème plan : tableau au fond L'Angelus de J.F. Millet. Idée de Dieu présente.
5ème plan : s'approche devant la chambre de ses enfants mais reste sur le seuil.
7ème plan : long. Se brosse les dents. Traces du crucifix sur le mur qui a été enlevé. Absence de Dieu. Silence. Côté mécanique.
Quand Mel Gibson entre dans la chambre, le plan suivant est la chambre de l'oncle et non celle des enfants → perte du lien avec les enfants mais oncle = enfant.
Premiers mots « Where are they? ». Quête des parents à la recherche des enfants. Caméra portée qui tourne dans tous les sens. Pertes de repères, fouillis. Maïs : barrière entre parents et enfants. Relations coupées, disloquées, inversées.
Fillette au bout du chemin : distance. Bo (=fillette) : présence adulte, grandie. Morgan (=le fils) seul dans le champ, on entend seulement le père. Celui-ci est obligé de s'abaisser pour rentrer dans le cadre. Le fils apprend à voir.
Le père marche sur les épis : étape végétale. Les chiens : étape animale.
Signes = espace
Famille = USA
Perdue dans l'espace
Extrait 2 :
Le fils fait le barbecue. S'occupe du père. Présence des chiens. Vocabulaire de Bo élevé. Morgan n'a pas peur du chien qui grogne.
Plan des épis → distance entre le père et les enfants. Caméra épaules : secouement donc point de vue du père, heurtée, chaotique. Son tee-shirt : DIVISION, football américain.
Extrait 3 :
Opposition parents/enfants même dans le cadrage. Connaissances et point de vue → enfants. Sont en GP et seuls. Père et oncle : toujours à 2. Chambranles des portes : encadrent les personnages sauf le père.
Commencement de la réunion de la famille. Chaîne humaine qui se créée. Le père, le plus incrédule, est tout en bas. Travelling sur le bras de Morgan.
Extrait 4 :
La Cène → référence à Dieu.
Dernier repas
Union ==> gros câliiiiiiiiin
Extrait 5 :
Oncle couvre la goulotte de charbon avec des paquets de nourriture pour chiens « JOY »
Ralenti du film : « I'm not ready ». Croyance en Dieu.
Torches : traits de lumière qui lient les personnages. Caméra bouge dans tous les sens. Ils sont coupés du monde.
Distance entre le fils et le père → catastrophe.
Signes de Night Shyamalan (74 millions de $)
Film purement politique. Exemple type de stéganographie. Idées de pêchés. Scénario changé au fur et à mesure du tournage. Une sorte de réponse au 11 septembre. Le premier jour était au départ le 11 septembre 2001. Date changée quelques semaines avant.
Extrait 1 :
Musique du générique : violante, métallique, forte, puissante.
Fin du générique : fondu au noir. 1ère image le réveil. Terne, jardin, …
1er plan : quintessence du film. Très vite. Backgarden. Lumière de début de journée. Terne. Vue d'une fenêtre → déformation
2ème plan : cohérence entre le 1er avec le chambranle de la fenêtre et le 2ème avec le cadre photo. Se resserre de plus en plus sur quelque chose.
Mise à distance dans le jardin puis GP de Mel Gibson qui s'interpose entre nous et le cadre. Mal Gibson = élément perturbateur du film (a perdu la foi), empêche l'unité de la famille.
3ème plan : symétrie de l'image avec un déséquilibre. Manque la mère.
4ème plan : tableau au fond L'Angelus de J.F. Millet. Idée de Dieu présente.
5ème plan : s'approche devant la chambre de ses enfants mais reste sur le seuil.
7ème plan : long. Se brosse les dents. Traces du crucifix sur le mur qui a été enlevé. Absence de Dieu. Silence. Côté mécanique.
Quand Mel Gibson entre dans la chambre, le plan suivant est la chambre de l'oncle et non celle des enfants → perte du lien avec les enfants mais oncle = enfant.
Premiers mots « Where are they? ». Quête des parents à la recherche des enfants. Caméra portée qui tourne dans tous les sens. Pertes de repères, fouillis. Maïs : barrière entre parents et enfants. Relations coupées, disloquées, inversées.
Fillette au bout du chemin : distance. Bo (=fillette) : présence adulte, grandie. Morgan (=le fils) seul dans le champ, on entend seulement le père. Celui-ci est obligé de s'abaisser pour rentrer dans le cadre. Le fils apprend à voir.
Le père marche sur les épis : étape végétale. Les chiens : étape animale.
Signes = espace
Famille = USA
Perdue dans l'espace
Extrait 2 :
Le fils fait le barbecue. S'occupe du père. Présence des chiens. Vocabulaire de Bo élevé. Morgan n'a pas peur du chien qui grogne.
Plan des épis → distance entre le père et les enfants. Caméra épaules : secouement donc point de vue du père, heurtée, chaotique. Son tee-shirt : DIVISION, football américain.
Extrait 3 :
Opposition parents/enfants même dans le cadrage. Connaissances et point de vue → enfants. Sont en GP et seuls. Père et oncle : toujours à 2. Chambranles des portes : encadrent les personnages sauf le père.
Commencement de la réunion de la famille. Chaîne humaine qui se créée. Le père, le plus incrédule, est tout en bas. Travelling sur le bras de Morgan.
Extrait 4 :
La Cène → référence à Dieu.
Dernier repas
Union ==> gros câliiiiiiiiin
Extrait 5 :
Oncle couvre la goulotte de charbon avec des paquets de nourriture pour chiens « JOY »
Ralenti du film : « I'm not ready ». Croyance en Dieu.
Torches : traits de lumière qui lient les personnages. Caméra bouge dans tous les sens. Ils sont coupés du monde.
Distance entre le fils et le père → catastrophe.